Selon la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), jusqu'à 80 % des océans de la planète restent inexplorés, inobservés et non cartographiés. Les océanographes aiment formuler la situation ainsi : Nous en savons plus sur la surface de la Lune que sur les fonds marins (1). Grâce aux nouveaux outils et technologies qui facilitent l'exploration des endroits difficiles d'accès comme la fosse des Mariannes, la situation commence enfin à changer.
Ces dernières décennies, nous avons appris que nos océans jouent un rôle bien plus important et complexe dans la santé de notre planète qu'on ne le pensait auparavant. Par exemple, nous savons désormais que 50 à 80 % de l'oxygène mondial est produit par des algues microscopiques appelées phytoplancton, qui dérivent en nombre incalculable en haute mer. Nous savons également que ce phytoplancton constitue la base de l'ensemble du réseau trophique océanique. Cela signifie que toutes les espèces marines sur Terre en dépendent d'une manière ou d'une autre, du plus petit zooplancton à la plus grande baleine bleue (2).
Ces connexions sont précieuses pour rétablir l'équilibre de l'écosystème mondial. Il pourrait en être de même pour les microbiomes de l'organisme, que nous n'avons pas encore étudiés en profondeur. Même si nous ne trouvons pas de microbe aussi universellement important que le phytoplancton dans notre microbiome auriculaire ou pulmonaire, nous découvrirons très probablement que ces écosystèmes diversifiés jouent un rôle crucial pour notre santé.
Et tout comme pour l'exploration des océans, nous disposons désormais des technologies nécessaires pour étudier et caractériser un nombre croissant de microbiomes de l'organisme avec une précision et une précision sans précédent. Cela signifie que nous pouvons aller au-delà de la simple identification des microbes uniques qui peuplent ces lieux et commencer à décrypter les mécanismes par lesquels ils interagissent avec notre être humain. Après tout, ce sont les fonctions que les microbes exercent dans l'organisme qui comptent, et non leur classification ou leur taxonomie. À l'instar de notre exploration des écosystèmes peu étudiés de notre planète, nos recherches sur les microbiomes moins connus du corps humain pourraient bien déboucher sur de nouvelles connaissances et interventions qui amélioreraient (voire sauveraient) la vie de millions de personnes.
CleanHub
Tous les produits mybacs sont liés à notre partenaire CleanHub. Plus de 11 millions de tonnes de déchets plastiques déversés dans nos océans chaque année (l'équivalent d'un camion toutes les minutes). Une mauvaise gestion de ces déchets plastiques à cette échelle a des conséquences considérables sur notre climat et notre santé.
- L’incinération des déchets à l’air libre a des impacts considérables sur le climat, équivalant à 2 à 10 % des émissions mondiales de CO2.
- Le stockage des déchets dans les décharges libère du méthane, un gaz à effet de serre 28 fois plus puissant que le dioxyde de carbone.
- Les microplastiques présents dans l’océan entravent la capacité naturelle de l’océan à éliminer le carbone de l’atmosphère.
- Le plastique tue des millions d'animaux chaque année. Près de 700 espèces sont directement affectées par le plastique.
- De minuscules particules de plastique pénètrent dans la chaîne alimentaire des océans parce que les créatures marines confondent ces fragments avec de la nourriture et finissent bientôt dans nos assiettes.
Pour prévenir de nouveaux dommages, nous devons veiller à ce que les meilleures méthodes de lutte contre la pollution plastique soient mises en œuvre dans les régions les plus touchées. C'est pourquoi notre nouvel Eco Jar est fabriqué à partir du matériau innovant Sulapac, 100 % biodégradable, et soutient en même temps un projet CleanHub très ciblé dans un pays où la pollution plastique est parmi les plus graves. La croissance démographique, l'urbanisation rapide, l'évolution des comportements de consommation et des modes de vie ont entraîné une mauvaise gestion des déchets plastiques et, par conséquent, une accumulation de déchets ménagers solides en Inde. (4)
Eco Warrior + Eco Jar = Protection de l'océan
M. Ravi est un pêcheur travaillant avec Recity, un partenaire de collecte, à Pondichéry, en Inde. Il a commencé son parcours d'éco-guerrier lorsqu'il a réalisé qu'il collectait plus de plastique que de poissons dans ses filets. Soucieux non seulement de sa propre subsistance, mais aussi de la vie marine dans un océan riche en plastique, M. Ravi a pris les choses en main et a commencé à collecter le plastique dans l'océan grâce à son bateau spécialisé. Il dirige aujourd'hui une équipe de cinq pêcheurs et une flotte de bateaux spécialisés qui collectent le plastique des fonds marins et fluviaux à Pondichéry, dans le sud-est de l'Inde.
Faits sur l'écosystème océanique
- Notre océan couvre 70 % de la planète et abrite la vie telle que nous la connaissons.
- Chaque seconde respiration que nous prenons vient de la mer
- Notre océan nourrit des milliards de personnes
- Notre océan abrite 80 % de la biodiversité mondiale.
Chacun de nous est un écosystème vivant, à l'image de notre planète. Avec les produits mybacs, vous soutenez non seulement votre propre écosystème au quotidien, mais aussi celui de notre planète.